J’AI TROUBLÉ UN COUPLE, J’AI ENVOÛTÉ UN HOMME …
Voici mon histoire J’ai fais connaissance d’un mec sur Facebook ; j’en suis tombée amoureuse, ce dernier est un footballeur qui évolue au Maroc. J’avoue que j’ai un faible pour les footballeurs. On s’est lancé dans une relation à distance, lui au Maroc et moi au Congo Brazzaville. Il est venu au pays en avril et c’était merveilleux.
À deux jours de son séjour au Congo je partis une fois encore à son hôtel et il y était avec sa copine… qui avait compris que j’étais dans une relation avec le gars. Pour nous séparer, la fille a demandé, à ce que je quitte les lieux, elle était en colère. Chose faite, j’étais malheureuse. Cette dernière m’a menacée.
Une idée m’est alors venue en tête ne pas abandonner ; et comment ? Si déjà le gars avait permis à la fille de me renvoyer le jour où on s’est croisée à son hôtel c’est quelle a de l’importance, j’ai pensé que l’envoûter serait la solution. J’ai gardé son sperme sur une pochette après nos rapports puisqu’on a continué à se voir malgré tout. Une de mes amies m’a emmenée voir une dame à Moukondo Brazzaville, qui a pour profession, trouver des solutions aux problèmes de couple. Que le mec t’appartienne ou non.
J’ai donc expliqué à cette dernière que j’étais amoureuse d’un gars qui est déjà dans une relation. Et que c’est lui que je voulais malgré tout. Nous avons utilisé une photo de lui et la pochette où je gardais son sperme. Un rituel qui nous avait pris une semaine avec un grand résultat. Le mec était à moi. Et je pouvais comprendre qu’il évitait sa copine la première. Je m’en veux à présent, parce je me mets à la place de cette fille.
Mais ce n’était pas de ma faute parce que le mec ne m’avait jamais dit qu’il était en couple. J’aurai peut être dû laisser le mec décider sur nous deux mais j avais peur qu’il la choisisse, voilà pourquoi j ai pris ce plan.
Que Dieu me pardonne ; j’ai comme un fardeau pour mon acte. Que cette fille me pardonne où qu’elle soit.
J’espère avoir le courage d’abandonner cette relation, car ce gars ne m’appartient pas.